Comment rester indifférente devant ce qui attend ces femmes, nos sœurs dans ce si beau pays ?
Oui, les femmes, les mères, leurs filles, leurs petites filles avaient respiré un peu du parfum de liberté. Elles avaient cru avoir conquis des droits…droits des femmes, droits des enfants… Et pourtant…
Nos droits sont des trésors si précieux et fragiles … A tout moment, tout peut basculer.
Comment rester indifférente devant ce qui attend les femmes, nos sœurs de ce pays ?
De toutes mes forces et mon énergie, je crie mon soutien aux femmes, aux filles, d’Afghanistan et je suis déterminée à continuer de dire et de chanter partout qu’elles ont les mêmes droits que moi et pour qu’elles sachent que je pense à elles… !
Dans la plaine de la Bekaa avec UNICEF il y a quelques années, au côté de femmes et de jeunes filles réfugiées syriennes au Liban.
Droits Devant !, c’est le titre de mon nouvel album et je suis en train d’y poser les dernières notes…12 chansons nouvelles qui parlent de la vie, de rencontres, d’enfants du bout du monde : de Lulu et Lili les petits amoureux, d’ Alma au Guatemala, d’Hamza en Syrie, d’Amadou au Mali le petit garçon (qui a grandi) depuis la chanson « Le cartable d’Amadou ». Un album bonheur, plein d’espoir, d’énergie, de rythmes et de musiques que j’ai hâte de partager avec vous ! Droits devant ! Sortie début novembre 2021.
Comment continuer d’accepter ces chiffres monstrueux du nombre d’enfants tués dans cet interminable conflit entre la Palestine et Israël ?
Comment pouvons nous encore nous boucher les oreilles, détourner nos regards lorsque tous les enfants innocents d’une même famille meurent sous une bombe ?
Je me sens bien naïve en écoutant Assael et Halatine, cette chanson que j’ai écrite il y a plusieurs années. Au fond de moi pourtant, je veux, croire à la paix pour tous ces enfants, ceux d’aujourd’hui et ceux dont l’enfance n’aura connu que ce conflit entretenu par quelques démons sourds et aveugles.
« Assael et Halatine » chanson dédiée à tous les enfants d’Israël et de Palestine.
Il y a cinq ans, lors de la mission Proxima, Thomas Pesquet avait emmené Hubert Reeves dans les étoiles, en emportant dans son sac de voyage mon livre disque « Les étoiles d’Hubert » dans la station ISS.
A son retour, nous nous sommes rencontrés le temps d’une dédicace…#HubertReeves#ThomasPesquet#MissionAlpha#ISS
Le confinement c’est beaucoup de distances… Il y a des mois que nous ne nous étions pas vus. Quel plaisir de passer un long moment avec Hubert à échanger sur le monde, la planète, la vie, l’art… Nous avons beaucoup parlé de cette si difficile période qui nous coupe de l’art vivant, de la culture… Je retiens et partage cette phrase d’Hubert dite de sa voix douce et musicale : « On ne peut pas vivre ainsi. On a besoin des créateurs et des artistes, ils embellissent notre vie… ».
Nous avons aussi parlé de son dernier livre « La fureur de vivre« . Il l’a écrit pour nous inviter à regarder le monde comme un lieu où s’exerce une formidable volonté humaine, celle de vivre…
Merci Hubert
Une chanson que j’ai écrite pour Hubert Reeves
Mes nouvelles chansons m’entrainent près de Dijon. Avec elles je pourfends les attaques du Covid, traverse les mesures sanitaires, et le couvre feu, pour découvrir et imaginer, derrière leurs masques, les visages de plus de 300 enfants des 9 classes d’écoles primaires et des élèves de l’orchestre du conservatoire. En Seine et Tille tous ces enfants préparent avec moi pour le mois de mai un grand concert sur le droits des enfants… Je rêve qu’à cette date il n’existe plus qu’un seul virus, le notre, celui de la chanson…
Quand un projet démarre, on chasse les incertitudes et on partage avec les enseignants les enfants ce bonheur d’échanger de chanter de s’écouter… Un très joli projet avec 9 classes en Seine et Tille en Bourgogne près de Dijon, qui se terminera par des concerts fin Mai, pour chanter et défendre le droit des enfants… à commencer, celui de se voir et d’être heureux !
Anne Sylvestre est partie rejoindre les très grands de la chanson française…
Je suis effondrée, Anne était ma marraine de scène, mais bien plus que cela, une grande sœur, une grande amie…
Elle m’a tellement donné envie de chanter, je connaissais toutes ses chansons,.Mon premier spectacle donné devant des enfants, je l’ai créé avec ses comptines… Lorsque j’ai commencé à chanter, c’était elle que je chantais, dans sa voix je glissais la mienne… Lorsque j’ai commencé à chanter, c’est elle qui m’a encouragé à continuer d’écrire mes propres chansons. Elle était là avec son exigence pour m’encourager et me guider.
Ses textes sont des modèles d’écriture, de poésie et d’humour. De Ursule aux Gens qui doutent, Frangines et Fille du vent…. Des textes pleins de sens, d’intelligence si magnifiquement construits. Elle écrivait notre monde, notre vie avec une si grande lucidité. Féministe mais bien plus que cela… Entière, elle faisait un peu peur aux médias qui ne lui auront jamais fait la place qui était la sienne aux côtés de nos plus grands auteurs Brassens, Ferrat, Brel, Ferré…
Nous nous sommes retrouvées avec joie il y a un an à l’occasion d’un prix que lui remettait la SACD. Nous avons beaucoup parlé, nous avons ri, beaucoup ri…comme deux Frangines.
Adieu Anne, nous n’oublierons pas tes merveilleuses chansons, je te le promets, je les chanterai à nouveau.
C’est à l’école, et particulièrement en premier degré, que doivent s’enseigner les valeurs de la République et les principales règles qui régissent le vivre ensemble dans notre pays.
C’est en apprenant aux plus jeunes à écouter les autres, à les respecter, à prendre la parole, et à faire de belles choses avec eux que les enseignants forment les citoyens éclairés de demain.
Nous les artistes, nous avons toute notre place à leur côté pour traduire autrement ces valeurs, en ouvrant les enfants à l’émotion, en leur révélant la poésie des mots, des gestes, du corps, des formes, de la voix, de la musique, en leur montrant la beauté du monde et le plaisir de créer ensemble.
Depuis 20 ans que mes chansons et mes concerts me conduisent auprès des enfants, j’ai longtemps connu l’institution scolaire indécise et réservée à l’idée d’ouvrir ses portes aux artistes.
J’ai souvent rencontré le scepticisme devant les sujets « difficiles » que j’osais aborder dans mes chansons. J’ai senti la méfiance, parfois l’hostilité et la violence de parents tout simplement opposés à l’expression artistique dans l’école.
J’ai été témoin de réactions d’enfants de 8 – 10 ans enfermés dans des croyances d’un autre temps et fermés à toutes discussions sur la mixité, l’origine de la planète, la liberté d’expression et d’éducation des petites filles…
Mais bien heureusement j’ai aussi été témoin de la puissance de l’expérience artistique avec les jeunes. J’ai appris comment certaines de mes chansons ont pu jouer un rôle déterminant dans la vie de certains enfants qui ont eu besoin de me l’écrire. Je sais l’importance qu’ont pu avoir pour des centaines d’entre eux les fantastiques concerts que nous avons réalisés ensemble. Des moments rares où en musique, en chansons, nous vivions et partagions concrètement les valeurs de la république.
Liberté – Egalité – Fraternité. Il ne faut rien lâcher, au contraire redoublons d’efforts pour affirmer et revendiquer ces trois mots clés de la République. Ouvrons grand les portes de nos écoles aux danseurs, aux musiciens, aux chanteurs, aux auteurs, aux comédiens, aux cinéastes, aux illustrateurs… C’est avec la poésie qu’on apprendra aux enfants à devenir des humains sensibles, ouverts et tolérants.
C’est le très bel album enregistré par Dominique Dimey en hommage à son père Bernard. Sur les excellents arrangements de Pierre Bluteau, Dominique reprend 12 de ses titres préférés parmi les nombreuses chansons écrites par son père Bernard. On retrouve L’enfant maquillé, Le doux paysage, L’amour et la guerre, Mais si je n’ai rien, Sortilèges, Le jongleur, Les voiles du bateau, Les imbéciles, Paris par coeur, Chanson pour Bernard écrite par Dominique à la mort de son père, et sa très jolie version de Syracuse.
Distribué par « L’autre distribution » l’album sortira dans les Fnac et tous les bons magasins de musique et chansons le 19 juillet 2019. Il sera bien sur disponible aussi en formats mp3 sur toutes les plateformes de téléchargement.
Spectacle musical deDominique DIMEY Conception et mise en scène : Bruno LAURENT Dominique DIMEY (jeu et chant), Charles TOIS (accompagnement piano) Richard BOHRINGER (voix off) Décors : Nils ZACHARIASEN Lumières : Stéphane BAQUET
Elevée seule par sa mère à Châteauroux, ses études terminées, Dominique part pour Paris, afin de démarrer une carrière d’artiste. Alors âgée de 20 ans, elle s’installe dans une petite chambre rue Lepic. C’est par hasard qu’elle découvre qui est ce bonhomme barbu qu’elle croise régulièrement dans le quartier… Bernard DIMEY, son père qu’elle ne connaissait pas ! C’est bien sûr un choc, une révélation bouleversante qu’elle mettra un certain temps à accepter. Mais ils apprendront à se connaître. Ils essayeront de rattraper le temps perdu et ne se quitteront pratiquement plus jusqu’à la mort de cet immense poète… C’est un magnifique hommage que Dominique rend à son père. Elle nous confie leurs moments de folie, la complicité joyeuse qu’ils ont partagé pendant ces années… Teinté de tendresse, d’humour et d’émotion, ce spectacle intime apporte un regard inédit sur l’œuvre et l’univers de Bernard DIMEY, l’auteur de Syracuse et de centaines de chansons enregistrées par les plus grands noms de la chanson française. Accompagnée au piano par Charles TOIS, Dominique DIMEY mêle avec sensibilité ses talents de comédienne et de chanteuse. Elle interprète avec une vérité bouleversante les poèmes et les chansons de son père qui éclairent subtilement son propos. Une conversation entre un père et sa fille qui marche sur le fil tendu du temps. Une balade pleine de tendresse dans l’univers poétique de Bernard Dimey, un auteur hors normes épris de liberté et de justice. Un spectacle d’une rare intensité, une véritable découverte !
LES ECHOS DE L’AVANT PREMIERE PARISIENNE AU THEATRE LEPIC
LE FIGARO
Un spectacle musical où Dominique dit et chante les poèmes t les chansons de son père
THEATRE PASSION
Histoire d’Amour, qu’il faut
l’entendre contée et chantée avec la voix chaude, sensible et pudique de
Dominique Dimey, dans une vérité émouvante, superbement accompagnée au piano
par Charles Tois.
Un regard inédit sur l’œuvre et l’univers de Bernard Dimey. Avec ce spectacle intime et bouleversant Dominique Dimey nous fait un grand cadeau.
DE LA COUR AU JARDIN
C’est un magnifique spectacle autobiographique qui mêle poésie, musique, chanson, tendresse, humour et qui nous plonge au cœur d’une incroyable rencontre, de celles qui changent et déterminent le cours d’une vie… c’est bouleversant !
SORTIZ
Portrait tendre, intime, émouvant et tout en retenu En allant le voir, vous « pousserez la porte d’un monde que vous ne soupçonniez pas », celui du vieux quartier de Montmartre et de ses bistrots, de la vie d’artiste bohème ou, si vous préférez, de saltimbanque, d’un « auteur vivant » mais aujourd’hui disparu qui est passé aussi bien salle Pleyel qu’à l’Olympia.
LMB
Dominique Dimey revient au théâtre avec un spectacle
émouvant Dominique Dimey a hérité de la liberté, de la fantaisie et surtout du
talent de Bernard Dimey. La pièce musicale où elle chante, récite et témoigne,
est poignante de sincérité.
THEATRE AU VENT
L’histoire de Bernard et
Dominique DIMEY qu’on croirait sortie d’un conte de Prévert… « Père et fille »
un poème vivant d’une exquise simplicité que seuls savent interpréter ceux qui
rêvent tout haut !